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Yann Caillère, président de Sofitel et directeur général de la zone Europe, Afrique, Moyen-Orient chez Accor, au micro de Karine Vergniol, le 13 décembre 2010 sur BFM Busines ![]() |
Même si Denis Hennequin espère bien rester plusieurs années à la tête d'Accor, il veut accélérer les choses : il se donne cent jours pour revoir l'organisation du groupe.
Des marques à forte personnalité
"Dans les pays émergents, nous devons aller plus vite", explique-t-il. "Accor doit être plus ambitieux dans des pays comme la Chine."
Quant aux marques, Dennis Hennequin estime qu'il faut leur donner plus de personnalité : selon lui, la valeur d'une marque réside en effet dans son pouvoir de différenciation.
Doit-on pour autant alléger le portefeuille de marques d'Accor ? Le nouveau patron assure qu'il est trop tôt pour répondre à cette question.
Des franchises maîtrisées
Un chose est sûre, c'est qu'il est important pour le groupe d'être présent sur tous les segments de l'hôtellerie, même sur le luxe, à la fois comme vitrine et pour toucher de nouveaux marchés.
Quant aux franchises, il faut évidemment les multiplier au maximum : l'objectif est de devenir le premier franchiseur en Europe en 2015. Mais pas n'importe comment : pour le luxe, comme Sofitel, ce n'est pas le modèle adéquat.